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La valise du confiné et son matériel de survie - épisode 4 : le rire
Publié par Stéphane Charrière - 11 mai 2020
Catégorie(s): Bande dessinée, Cinéma, Expositions / Festivals, Jeux vidéo, Séries TV / V.O.D.
Rire. Rire de tout, rire tout le temps. Pas toujours très facile cependant. Le rire est un phénomène qui a toujours, certains textes ou certains films (Le nom de la rose par exemple) en témoignent, été sujet à la vindicte institutionnelle. Aujourd'hui, le politiquement correct, dictature du conformisme et caractérisation d'une pensée sans relief, impose ses nouvelles règles. Le rire est sujet à caution. On préfèrera de loin le rire assujetti à un objet abrutissant et sans profondeur à un rire qui, sous des aspects beaucoup moins lisses, a vocation à réfléchir les travers d'une société qui galvaude ses caractéristiques culturelles, donc son identité. En 1982, Pierre Desproges s'adressant au leader de l'extrême droite française, déclarait : "On peut rire de tout mais pas avec tout le monde". Autrement dit, rions de tous les sujets, surtout du pire, pour exorciser nos craintes existentielles mais ne rions (surtout) pas avec ceux qui ont des attitudes (ou qui tiennent des propos) qui n'incitent pas à l'amusement, nullement, bien au contraire. Alors, suivons l'exemple de l'humoriste, souvenons-nous de cette seule règle et voyons ce qui fait rire les rédacteurs de Splitscreen-review.
Amandine Brouillard
- Babysitting 1 et Babysitting 2 réalisé par Philippe Lacheau et Nicolas Benamou (une bande d'acteurs et de réalisateurs que j'aime beaucoup et qui me font toujours autant rire)
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Supercondriaque et Un plan parfait réalisé et joué par Dany Boon (un acteur qui me fait énormément rire, surtout avec ses expressions et ses mimiques)
- Mars Attacks! réalisé par Tim Burton (film complètement déjanté que j'adore)
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Bienvenue à Zombieland réalisé par Ruben Fleischer
- Qui veut la peau de Roger Rabbit réalisé par Robert Zemeckis (toujours aussi bien même après 32 ans)
- Blanc Manger Coco (très drôle à jouer en soirée avec des amis)
- Les loups-garous de Thiercelieux (un classique)
- Esquissé (plutôt fun, surtout quand on ne sait pas dessiner comme moi)
Eric Scheiber
- Day of the Tentacle (Par Tim Shafer)
Un jeu aux graphismes colorés, personnages ridicules et aux énigmes à la logique grotesque. Un grand classique du jeu d'aventure autant influencé par les Monty Python que les Looney Toons.
- Y'a-t-il un pilote dans l'avion ? (Par les ZAZ)
Ce film imaginé par le collectif ZAZ peut se targuer d'avoir établi un nouveau genre d'humour à lui seul.
- Frankenstein Junior (par Mel Brooks)
Dans ce film, Gene Wilder incarne un descendant du célèbre savant fou qui tente sans succès d'échapper à son héritage. Une vraie fausse suite des classiques monstrueux de la Hammer qui rend hommage à ceux-ci par divers partis pris, tels que l'usage du noir et blanc ou des vrais accessoires utilisés dans le film original.
- Le mécano de la Générale (Par Clyde Bruckman, Buster Keaton)
Un film muet réalisé par le célèbre comédien de Slapstick en personne. Une comédie qui peut aussi se regarder comme un petit film d'aventure et qui transmet toute l'essence de l'humour muet.
- Malcolm in the middle (Par Linwood Boomer)
Une sitcom qui dynamite les codes de son genre. Au revoir les petits tracas de familles américaines archétypales, la caméra fixe et les rires pré-enregistrés. Bonjour la famille dysfonctionnelle, les effets de mise en scène et le seul rire du spectateur.
- H2G2, le guide du voyageur galactique (Par Douglas Adams)
Une série de romans à l'humour purement british qui donne le ton en se vendant comme "la première trilogie en cinq volumes". Une aventure aberrante qui, dans le pur style anglais, aime à caricaturer la société avec des situations pince-sans-rire et des personnages improbables.
- Kaamelott (Par Alexandre Astier)
Réinvention du mythe arthurien avec des personnages paumés aux répliques incisives. Peu de gens peuvent prétendre ne pas connaître cette série française qui se démarqua par son humour dans un milieu, et à une époque, dominé par les œuvres américaines ou anglaises.
- Reflet d'acide (Par JBX)
Dans le style français et moderne, on peut aussi trouver cette fameuse saga MP3. Une caricature de Jeu de Rôle papier où l'auteur montre son amour pour les belles lettres en basant son humour sur les jeux de mots, rimes, allitérations et autres double sens. Une fusion de créations parfaitement modernes avec la tradition littéraire française.
- L'avare (par Louis de Funès et Jean Girault)
Peut-être pas l'œuvre la plus connue de Louis de Funès, mais une expérience de réalisation pour l'acteur qui lui donne l'occasion de rendre hommage à la célèbre pièce. Avec son jeu d'acteur bouffonesque, Le bon Louis donne à l'antipathique Harpagon son aspect caricatural que désirait transmettre Molière en son temps.
- Chantons sous la pluie (Par Stanley Donen et Gene Kelly)
Ce monument de l'âge d'or hollywoodien peut se targuer d'être plus qu'une série de chansons entêtantes et de chorégraphies impressionnantes. À travers ses personnages hauts en couleur et un peu hypocrites tournés en ridicule, c'est un Hollywood en pleine mutation avec l'arrivée du film parlant qui est dépeint.
Esteban Soria
-Un jour sans fin : Harold Ramis (cinéma)
-Hot Fuzz : Edgar Wright (cinéma)
-Kaguya Sama : Love is War : A- 1 Pictures (Animation)
-Kill la Kill : Studio Trigger (Animation)
-Lastman : Jérémie Périn (Animation)
-South Park : Trey Parker et Matt Stone (Animation)
-Les annales du disque monde : Terry Pratchett (Littérature)
-Portal 2 : Valve (Jeu vidéo)
-Borderlands 2 : Gearbox Software (Jeu vidéo)
-Stanley Parable : Davey Wreden et William Pugh (Jeu vidéo)
Eugénie Charrière
Films
Tous les films de Buster Keaton
“Les vacances de Mr Hulot” de Jacques Tati
“The big Lebowski” des frères Coen
“L’été de Kikujiro” de Takeshi Kitano
“Les tontons flingueurs” de Georges Lautner
“The Party” de Blake Edwards
“Monty Python : sacré Graal” de Terry Gilliam et Terry Jones
Pièce de théâtre
L’avare de Molière avec Denis Podalydès dans le rôle titre
Humoristes
Coluche : Les papes, la publicité, L’accident de voiture (on n’a pas eu de bol) et bien d’autres. Coluche nous manque tellement…
Pierre Desproges et ses célèbres citations.
Gilbert Babolat
Des œuvres qui font rire ? Des œuvres plutôt contemporaines et souvent animées. Alors tout à trac.
Le burlesque et le pince-sans-rire chez les Britanniques Gilbert et George. Le duo joue sur l’ambivalence de propos portant sur des thèmes d’actualité. Les photomontages aux couleurs vives cerclées de noir avec leur présence sont leur marque de fabrique. La série Hooligans de 2011 les montre dupliqués, les corps déformés, et les visages rendus grimaçants. Leur première performance, The singing sculpture, les fait apparaître dans une vidéo en costumes debout sur une table en train de chanter en playback une chanson sur la Grande dépression de 1929, le visage enduit de peinture couleur bronze en imitant des gestes d’automates, un rappel autobiographique sur leur début difficile.
La dérision et la volonté de choquer, de bousculer est un des fondements du rire. Un rire subversif. En patron, mettons Fontaine de 1917 de Marcel Duchamp, le fameux urinoir renversé et deux ans plus tard, L.H.O.O.Q., jeu de mots graveleux sur l’icône du Louvre, La Joconde désormais affublée de moustaches.
Dans la mouvance de Dada le goût prononcé pour la performance de Fluxus dans les années 1960. Les gestes banals de la vie quotidienne de Benjamin Vautier, dit Ben, photographiés. En 1963 à Nice sur la Promenade des Anglais, assis sur une chaise, il montre une photo sur laquelle il apparaît, tenant une pancarte avec cette inscription : Regardez-moi cela suffit.
Le travail actuel d’un vidéaste français, Pierrick Sorin. Il s’est fait connaître en 1988 avec un auto-filmage, Les réveils. La veine de l’auto-dérision se poursuit dans Pierrick et Jean-Loup, quatre courts-métrages, genre M. Bean français. Facétie et insolence caractérisent son art en jouant sur le comique de situation et de répétition. Pour lui deux figures tutélaires sont inséparables de son travail : Georges Méliès et surtout Jacques Tati. Dans la série de photomontages With Michel de 2008, il parodie des vacances d’un personnage gauche à l’image du personnage emblématique Hulot de Jacques Tati dans Les vacances de Monsieur Hulot. Dans ses théâtres optiques, de petits personnages gesticulent sur des décors miniatures, entourés d’objets réels : Pierrick Sorin, opérateur personnel de chirurgie esthétique, en 2016.
Le rire en prise étroite avec notre monde comme le dit Pierrick Sorin dans une interview sur la chaîne TLT en 2009 quand il dit, ne pas faire “dans le divertissement parce que par définition le divertissement tendrait à nous éloigner de nos problèmes, mais [à ramener] nos problèmes sous une forme relativement légère”. Un miroir plus ou moins déformant.
Irénée Rostan
Top Secret de Jim Abrahams et David Zucker : Pluie de gags extraordinaires, dans le fond, comme dans la forme. Génial !
Monty Python : Sacrée Graal de Terry Jones et Terry Gilliam : Leçon d'humour britannique par les Monty Python.
Le Grand Restaurant de Jacques Besnard. On ne pouvait pas faire une liste de ce qui me fait rire sans y mettre un film de Louis de Funes ! "Il est pas là le patron ? Ah vous d'vez être content !"
Jules Peyres
The Tatami Galaxy (Masaaki Yuasa)
Monty Python : Life of Brian (Terry Jones)
Hot Fuzz (Edgar Wright)
The Art of Self Defense (Riley Stearns)
Why Don't You Play in Hell (Sion Sono)
Megaforce (Hal Needham)
Burn After Reading (Ethan Coen et Joel Coen)
The Grand Budapest Hotel (Wes Anderson)
What We Do In The Shadows (Taika Waititi et Jemaine Clement)
Team America: World Police (Trey Parker)
Lucas Brun
Jeu vidéo :
-Castle Crashers par The Behemoth
-Battleblock Theatre par The Behemoth
-Move or Die par Those Awesome Guys
-Crash Bandicoot N-Sane Trilogy par Vicarious Visions et Iron Galaxy
-Mount your Friends par Stegersaurus Software Inc.
-Borderlands 2 par Gearbox Software
-Ultimate Chicken Horse par Clever Endeavour Games
-Reigns par Nerial
-Cuphead par Studio MDHR Entertainment Inc.
Série :
-Kaamelott par Alexandre Astier et Alain Kappauf
Pierre Rochigneux
Rire, je ne sais pas. Les moments de joie, je les ai. C'est, je viens d'en revoir un extrait, tout, non pas tout, ce sont les bouts de chants de danse de Jamais le dimanche de Jules Dassin. Ivresse et verres jetés au sol. Encore tout de suite je claquais des doigts, entre en rire et en pleurer.
Et quand on rencontre un clown, n'est-ce pas entre le rire et les larmes ? Pendant un tournage à Saint-Etienne, j'ai côtoyé Pierre Étaix. C'est long, entre les prises. Assis à l'écart, il prit deux bouts de scotch noir (du gaffeur), se les ai collés sur les cils et fit des sursauts de front. Mime du muet. Possible que je fus le seul à voir ceci. Certain que je ne lui ai pas dit. Qu'il fit ça pour lui. Et c'est la première fois que je l'évoque. (En attendant de voir la mer, de Michel Dieudonné).
Pas loin, Tati, là, posé dans le déséquilibre, Keaton en hésitation, au tournant, Chaplin, rire nécessaire dans le cruel hymne à la vie. Nécessaires grands-pères mais le rire n'y est pas vraiment. Je n'ai pas la gorge déployée ni sonore, je ris à l'intérieur comme je pleure à l'intérieur. Dix rires à évoquer, ma pudeur se méfie. Dernièrement, confinement oblige, une vidéo me parvint d'une complice en écriture. Pour éviter les postillons, on enlève progressivement des consonnes. Oui, rire. Mais seul. J'ai partagé "VID-20200502-WA0000.mp4" si ça peut aider. Pas sûr que ça marche, non, je tombe sur un truc italien.
P'tit Quinquin de Bruno Dumont, je sens que ça met en place les éléments de l'absurde. Carpentier enfin fait du deux roues avec la voiture de police. Je l'attendais, je me disais, y va pas le faire. "Faut pas philosopher", pour moi, c'est l'absurde qui motive les zygomatiques.
Il est presque minuit. Demain, défilé, non, je reste chez moi, je ne tue personne. Encore six rires à trouver.
Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon. Le film n'y est pas pour grand-chose, c'est le contexte, on est plusieurs devant l'écran et le truc a été téléchargé illégalement, on picole, on se moque de l'accent du Nord en le comparant au nôtre à St Etienne, on se moque de nous-mêmes, on rigole, ça, oui. Pas Tintin trop coincé mais Gaston Lagaffe de Franquin. D'ailleurs, au boulot, on se moque un peu de mon côté Gaston, de mes espadrilles quand je pose mes bottes de mob, de mes pulls tricotés, de mes blagues décalées.
Pierre Dac et Francis Blanche, c'est en noir & blanc, ça doit pouvoir se retrouver (le Sâr Rabindranath Duval - 1957 Archive INA). Nous y sommes, quelques scènes des Tontons flingueurs de Georges Lautner, le reste est un peu vieillot. Blanche Gardin. Deux anars ou féministes qui se parlent puis se disputent parce qu'ils (elles) sont d'accord, ça me fait rire. Le vin aussi, pas tout seul. J'ai dépassé. Je retire le vin.
Sacha Debard
Séries
1- Community, Dan Harmon
Bien qu’inégale sur ses saisons (notamment due à diverses péripéties et départs) le principe de cette série repose non seulement sur des dialogues très libres sur les sujets, mais aussi sur un vrai travail formel en ce qui concerne les références culturelles.
2- Scrubs, Bill Lawrence
Une série qui sait jouer sur bien des dimensions de l’humour. De la variété très riche des personnages aux actions presque burlesques en passant par les petites pensées absurdes du narrateur, on ne sait jamais à quoi s’attendre. La valeur ajoutée de cette série réside aussi dans sa « Chaplin’s touch », elle est aussi hilarante qu’elle peut nous faire pleurer.
3- Kaamelott, Alexandre Astier
« Ah, le printemps. La nature se réveille, les oiseaux reviennent, on crame des mecs… »
4- Mr Bean, Rowan Atkinson et Richard Curtis
Le simple fait de penser à ce visage me fait rire.
5- Les dessins animés de Tex Avery
Satire du consumérisme dans les maisons/télévision/voiture du futur, le petit chaperon rouge pin-up, une Symphonie argotique, la joie rayonnante de Droopy… que demander de plus ?
Films
6- Duck Soup, Leo McCarey
La particularité des Marx Brothers est probablement son ambivalence. Héritiers du music-hall, ils ponctuent leurs folies par leur virtuosité musicale. Dans cette charnière des années 30 où le cinéma devient parlant, Groucho s’envole dans des dialogues absurdes, tandis que Harpo, muet, perpétue les gags visuels du burlesque.
7- Trilogie The Naked Gun, de David Zucker, Jim Abrahams et Jerry Zucker
Les fameuses productions ZAZ, ou chaque visionnage permet de découvrir de nouveaux gags, tant ils sont nombreux, dans l’écriture, les arrière-plans, le montage, les références… de véritables mines d’or.
8- Les Tontons Flingueurs, de Georges Lautner
« Faut reconnaître, c’est du brutal »
Bandes-dessinées
9- Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, Maëster
10- La Rubrique à Brac, Gotlib
Style de dessin très différent et pourtant ce qui les réunit (mis à part l’âge d’or de Fluide Glacial), c’est le souci du détail, les expressions, la force de l’écrit et de la référence culturelle… De la bonne sœur au visage de Jean Gabin à Isaac Newton rien n’est à jeter. Un délice de (re)lecture.
Stéphane Charrière
Rire. Mais il n'y a pas toujours de quoi. Le rire des autres peut m'inquiéter (le nombre de conquis par le comique des Visiteurs par exemple). Mais c'est une autre affaire (la valise "peur" est déjà bouclée).
Le rire ne se partage pas forcément mais il se communique toujours. L'expérience de la salle est unique en la matière. Souvent, l'hilarité qui me submergea pendant une séance fut totalement réduite à néant par la suite lors d'une approche solitaire du film. Déception ? Pas obligatoirement car finalement, l'idée du partage, en ce cas bien précis, participe de la joie qui qualifie le souvenir de ces expériences.
Parfois le rire est donc lié à un contexte qui assure un convergence entre le film et l'humeur du spectateur. C'est ce souvenir-là qui est drôle. Donc, pour cette liste, se contraindre à faire abstraction de ce phénomène particulier. Qu'est-ce qui me fait rire ? L'absurde, le plus imparablement, le plus efficacement. Alors allons-y en sachant que cette liste relève de la spontanéité. Donc qu'elle serait sujette à modification avec un brin de réflexion.
Buster Keaton dans son ensemble avec deux mentions : One week et Sherlock junior (j'en mets deux parce qu'il y a un court et un moyen métrage). Oui l'étonnement et la stupéfaction me font rire en certaines occasions. Les films de Keaton sont archétypiques de ces moments.
Les temps modernes de Charles Chaplin
The Party de Blake Edwards
Playtime de Jacques Tati. Ce qui me fait rire ici c'est la destruction du rire communicatif. L'étonnement s'empare du spectateur lorsqu'il constate que quelqu'un, ailleurs dans la salle et dans le film, s'amuse d'un gag que lui-même n'a pas perçu. Et puis Playtime, c'est la quintessence du rire cérébral.
T'es fou Jerry de Jerry Lewis. Synthèse de tous les délires abstraits et absurdes du Slapstick transcendés par le cartoon. Pari fou : réussir à transformer un acteur (Jerry Lewis) en personnage de cartoon afin que le spectateur ne s'inquiète jamais pour le futur du sujet, quoiqu'il arrive. Et il lui en arrive au sujet...
The big Lebowski de Joel et Ethan Coen
Le fantôme de la liberté de Luis Bunuel.
Tex Avery (avec le son mais pas trop fort svp)
L'impossible Monsieur Bébé de Howard Hawks
Certains l'aiment chaud de Billy Wilder
Thibaud Latil-Nicolas
Rire ?
Théâtre :
Le prénom de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière
Le malade imaginaire de Molière
Tartuffe de Molière
Cinéma :
Le dîner de cons de Francis Veber
La chèvre de Francis Veber
100 000 dollars au soleil de Henri Verneuil
Les Tontons flingueurs de Georges Lautner
Hot Fuzz d'Edgar Wright
Monty Python : Sacré Graal de Terry Jones et Terry Gilliam
Série :
Friends créée par Marta Kauffman et David Crane
Tom Laurans
Alors comme ça on veut de la rigolade qui fait rire? Alors en voilà!
- "Scott Pilgrim VS The World" d'Edgar Wright [FILM] (Mon film préféré tiré de mon comics préféré avec un sens du timing et un montage qui me font pleurer de rire à chaque fois)
- "Hot Fuzz" d'Edgar Wright [FILM] (Une bonne comédie d'action avec des dialogues au poil)
- "Le dernier pub avant la fin du monde" d'Edgar Wright [FILM] (De la SF avec des gens bourrés ça me redonne le sourire)
- "Shaun Of The Dead" d'Edgar Wright [FILM](Ai-je besoin d'en dire plus que : une comédie romantique avec des zombies?)
- "Kaamelott" d'Alexandre Astier [SÉRIES] (Un classique Français avec des dialogues et des personnages hilarants)
- "Borderlands 2" de Gearbox [JEU] (Un fps bourrin dans un monde post-apo complétement décalé et un méchant hilarant doublé par le talentueux Christophe Lemoine)
- "South Park" de Matt Stone et Trey Parker [SÉRIES] (La série irrévérencieuse par excellence, de l'or en barre)
- "Futurama" de Matt Groening [SÉRIES] (très probablement la meilleure de ce bon vieux Matt qui a bien occupé mon enfance)
- "How I Met Your Mother" de Carter Bays et Craig Thomas [SÉRIES] (Ma sitcom de référence)
- "H2G2 le guide du voyageur intergalactique" de Garth Jennings [FILM] (42)